La mise en place de poulaillers confortables
permettant de favoriser l’expression des comportements naturels des animaux : des fenêtres pour la lumière naturelle, une augmentation de l’espace disponible de 10% par rapport à la pratique autorisée, des perchoirs et substrats à picorer, la qualité de l’air et de la litière.
En savoir plus
Une lumière naturelle complétée si nécessaire pour atteindre au moins 50 lux d’intensité lumineuse. Pas d’obscurité permanente, ni d’exposition constante à la lumière (6h de temps de repos minimum).
Un milieu de vie enrichi de manière adaptée à l’espèce avec des perchoirs et des éléments à picorer : avec au minimum 2 mètres linéaires pour 1000 poulets de perchoirs et minimum 2 substrats à picorer pour 1000 poulets.
Une qualité de l’air aux normes maximales définies à l’Annexe 2.3 de la directive européenne portant sur les poulets de chair, indépendamment de la densité d’élevage.
L’interdiction d’utiliser des cages ou système multi-étages.
La préservation de la santé des animaux :
des mesures strictes d’hygiène, des soins aux animaux assurés sous l’encadrement des vétérinaires des éleveurs, le développement de solutions naturelles et d’alternatives aux antibiotiques (extraits végétaux, probiotiques).
Une alimentation fabriquée en France à proximité des élevages,
adaptée aux besoins nutritionnels des animaux, composée à 100% de végétaux, minéraux et vitamines, à base de céréales entières françaises (blé, maïs...).
Le respect de la nature par une démarche de progrès :
l’intégration paysagère des élevages (plantation d’arbres et de haies, bonne tenue des exploitations...), la préservation des ressources en eau et en énergie (développement de poulaillers à basse-consommation d’énergie et des stations de compostage des litières), le tri et le recyclage des déchet.
L’ensemble de ces critères sont contrôlés chaque année par des organismes indépendants garantissent, via 70 points de contrôle, le respect des engagements du cahier des charges auprès de chaque élevage.